Voici les 6 erreurs à éviter pour atteindre cet objectif :
1. Sous-estimer l'importance du colostrum :
Dès sa naissance, le veau est dépourvu d'immunité, d'où l'urgence de lui fournir une défense contre les pathogènes. « Le veau doit absorber 200 g d’IgG minimum dans les 12 heures » a rappelé Franck Gaudin. La règle des 5Q, appliquée aux éleveurs aux États-Unis selon les recommandations de Franck Gaudin est par ailleurs essentielle (La règle des 5Q : Retour d'expérience de Franck Gaudin, nutritionniste international).
2. Ignorer l'apport en quantité de nutriments pendant la phase lactée :
« 8 L à 10 jours c'est primordial pour maximiser les apports ». Tout retard dans cette augmentation énergétique entravera la croissance des veaux, un retard irrécupérable à long terme.
3. Négliger la qualité des nutriments en phase lactée :
Pendant les deux premiers mois, l'efficacité alimentaire du veau est à son apogée. Il est donc crucial d'investir dans des nutriments de haute qualité. Tout compromis sur ce plan, comme l'utilisation de protéines végétales au détriment des protéines laitières ou le déséquilibre des acides aminés, nuira à la digestion et à l'utilisation des nutriments, impactant négativement le GMQ.
5. Sous-estimer la contamination précoce de la dermatite digitée :
Cette affection peut entraîner des lésions chroniques chez les génisses, affectant leur immunité mais aussi leur mobilité une fois dans le troupeau des vaches laitières à plus long terme. Prévenez cela en utilisant des sources d'oligo-éléments biodisponibles et offrant à vos génisses un environnement adapté.
6. Sous-estimer l’importance de l’hygiène :
« Je vous encourage à faire des géloses et vous allez avoir des surprises…qui ne seront sans doute pas bonnes ». Tout stress pénalisera le GMQ des génisses en réorientant les apports nutritionnels vers les besoins de défense immunitaire au détriment des besoins de croissance. Un environnement sain est donc essentiel pour exprimer l’investissement fait pour optimiser la croissance des veaux.
Dès sa naissance, le veau est dépourvu d'immunité, d'où l'urgence de lui fournir une défense contre les pathogènes. « Le veau doit absorber 200 g d’IgG minimum dans les 12 heures » a rappelé Franck Gaudin. La règle des 5Q, appliquée aux éleveurs aux États-Unis selon les recommandations de Franck Gaudin est par ailleurs essentielle (La règle des 5Q : Retour d'expérience de Franck Gaudin, nutritionniste international).
2. Ignorer l'apport en quantité de nutriments pendant la phase lactée :
« 8 L à 10 jours c'est primordial pour maximiser les apports ». Tout retard dans cette augmentation énergétique entravera la croissance des veaux, un retard irrécupérable à long terme.
3. Négliger la qualité des nutriments en phase lactée :
Pendant les deux premiers mois, l'efficacité alimentaire du veau est à son apogée. Il est donc crucial d'investir dans des nutriments de haute qualité. Tout compromis sur ce plan, comme l'utilisation de protéines végétales au détriment des protéines laitières ou le déséquilibre des acides aminés, nuira à la digestion et à l'utilisation des nutriments, impactant négativement le GMQ.
4. Mal gérer le sevrage :
Une réduction trop rapide des apports lactés sans une transition adéquate vers une alimentation solide riche et équilibrée en glucides ruminaux et en protéines ruminaux compromettra la phase de sevrage. Mesurez les beta-OH de vos veaux pour s’assurer qu’ils sont bien devenus ruminants.
Une réduction trop rapide des apports lactés sans une transition adéquate vers une alimentation solide riche et équilibrée en glucides ruminaux et en protéines ruminaux compromettra la phase de sevrage. Mesurez les beta-OH de vos veaux pour s’assurer qu’ils sont bien devenus ruminants.
5. Sous-estimer la contamination précoce de la dermatite digitée :
Cette affection peut entraîner des lésions chroniques chez les génisses, affectant leur immunité mais aussi leur mobilité une fois dans le troupeau des vaches laitières à plus long terme. Prévenez cela en utilisant des sources d'oligo-éléments biodisponibles et offrant à vos génisses un environnement adapté.
6. Sous-estimer l’importance de l’hygiène :
« Je vous encourage à faire des géloses et vous allez avoir des surprises…qui ne seront sans doute pas bonnes ». Tout stress pénalisera le GMQ des génisses en réorientant les apports nutritionnels vers les besoins de défense immunitaire au détriment des besoins de croissance. Un environnement sain est donc essentiel pour exprimer l’investissement fait pour optimiser la croissance des veaux.
Retrouvez l'intégralité de votre newsletter :
Quel est le meilleur taux de renouvellement pour votre atelier vaches laitières ?« La prévention de la dermatite digitée commence dès la puberté »
