#1 – Sécuriser le coût de l’énergie
« Je maitrise le prix de mon concentré de production ». C’est l’argument qui vous fait le plus souvent opter pour l’ECA (échange céréales aliment) et ce notamment dans un contexte de forte volatilité des céréales. Les céréales sont mises en dépôt et seule la partie complémentaire, les frais de stockage, de fabrication et de transport sont facturés aux producteurs. Les céréales entrent donc dans la ration à un prix stable durant toute la campagne.
#2 – Limiter les investissements
« Je n’ai pas à investir dans un aplatisseur ni de cellules » pour stocker les céréales. Faire stocker ses céréales, c’est aussi l’assurance d’avoir une céréale stockée dans des conditions optimales. C’est aussi le moyen de bénéficier de la qualité fabrication grâce aux process des usines d’aliments. La qualité et la finesse de broyage sont mises à la disposition des éleveurs pour garantir leur meilleure valorisation par les animaux.
#3 – Gagner du temps de travail
« Pas de temps à passer pour nettoyer les cellules ». Ne pas faire soi-même, c’est au moins 30 minutes par jour de gagnées, sans compter le temps passé à stocker les céréales, ventiler les cellules ou à les nettoyer en fin de campagne !
#4 – Une présentation en granulé
« La présentation en granulé est beaucoup plus facile à distribuer au DAC ». La présentation de la céréale sous la forme de granulés permet également d’avoir accès à des supplémentations nutritionnelles. Ainsi, la céréale devient également un support pour apporter facilement et de façon sûre, à la bonne dose, des produits complémentaires tels que les levures vivantes, la matière grasse protégée, les minéraux.
#5- Gagner en performances
L’apport de céréales dans la ration des ruminants doit se faire en respectant des normes précises, notamment en fonction du profil des amidons, pour éviter des soucis de santé des animaux. La protection de l’amidon par l’ajout d’huiles essentielles permet de limiter l’amidon rapide, la part la plus acidogène des amidons pour les céréales à paille. Le maïs et le sorgho ont naturellement une part d’amidon intestinale plus élevée. Au final c’est moins de boiteries, de mammites, de problème de reproduction qui ont tous des impacts économiques importants dans l’élevage.
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